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IL LIBERATORE D’ISRAELE

CHAPITRE 2


Les fonctionnalités de notre logique sous tutelle


1 – Sans l’intervention du Libérateur, les points d’ancrage de la logique charnelle, interdisent toute forme d’action dans la nature divine


A la création de l’homo sapiens, Dieu était confronté à faire de cet être nouveau, un être pensant aux capacités d’analyses élevées et doué d’une intelligence supérieure aux autres espèces, tout en mettant à sa disposition une structure émotionnelle de survie, dotée d’autodéfenses rapides. La logique dont il allait le revêtir allait donc devoir lui permettre de longues analyses, tout en assurant  sa sécurité dans un très rude contexte de vie, mais sans pour autant lui permettre de s’éloigner trop sensiblement des vocations de sa génétique.

Comme nous l’avons évoqué dans le premier chapitre et afin que cette logique ne l’entraine pas trop loin du but recherché au travers de cette génétique, Dieu se devait donc de mettre une tutelle spirituelle sur cette humanité naissante, afin de lui éviter les débordements abusifs. Quelque soit la nature de ces débordements, ils auraient pu entrainer ce nouvel être à exterminer, non seulement sa propre race, mais également bien d’autres, comme nous en sommes devenus témoins. Dieu voulait en effet nous amener à ce que nous sommes devenus aujourd’hui, sans oublier que demain, Il veut nous faire sortir de cette tutelle archaïque.

Hier, comme il en est encore aujourd’hui, les capacités intellectuelles de cet être pensant, allaient donc lui permettre de longues analyses, par un circuit cérébral complexe, au travers desquelles il allait trouver un intérêt de la présence de son Créateur. Dieu voulait cependant lui apporter une capacité d’autodéfense rapide, soutenue dans de longues adversités et le pourvu donc d’auto réflexes, par un circuit cérébral hors analyses.

Pour assurer à l’homo sapiens, les fonctionnalités que nous retrouvons chez l’humain encore aujourd’hui, nous devons en effet schématiser quelque peu les données scientifiques en rapport à notre structure cérébrale. Nous retrouvons alors deux circuits principaux dans notre cerveau, l’un passant par toutes nos analyses, tandis que le second les évite. Le premier circuit est très lent et très énergivore, à cause des multiples neurones dont il doit interpréter l’utilité de chacun d’eux, pour extraire une valeur comparative en rapport à l’objectif final recherché. Le second circuit est au contraire conçu pour des actions réflexes rapides, donc peu énergivore, ce qui permet d’avoir plusieurs circuits de cette nature ouverts en même temps. L’un comme l’autre de ces circuits aboutissent cependant aux mêmes éléments de synthèse programmés, afin que notre QE (quotient émotionnel) puisse générer l’ordre d’agir depuis l’amygdale cérébrale.

Ces éléments de synthèse, préalablement programmés, sont donc comme des banques de données de réactions, mises à la disposition, soit de l’ensemble de nos analyses accompagnées de notre QE, soit uniquement de notre QE, ressenti principalement au niveau du cœur. Une capacité d’accentuation ou de modération de ces éléments programmés, est placée principalement au niveau de nos analyses, ce qui nous permet de couvrir un large éventail de réactions, à partir d’un stéréotype de base relativement restreint. C’est donc cette capacité d’intervention sur la valeur à accorder à ces éléments programmés, qui nous donnent l’impression de pouvoir gérer toute chose de façon équilibrée selon Dieu, ne serait-ce que notre propre spiritualité. C’est là une erreur fondamentale, puisque quelque soit l’intensité de notre réaction, liée à notre QE et nos analyses, l’action correspondante ne pourra être mise en pratique que par ces éléments de synthèse appartenant à notre logique initiale. Quelque soit donc la modération ou l’intensification que nous apportons à l’action programmée, celle-ci reste de nature charnelle et non divine, même si celle-ci correspond déjà mieux à la parole de Dieu et de notre conscience.

Ce sont donc les traces de cette logique initiale qui nous sont impossibles à contourner concrètement, ce qui place tout humain dans l’incapacité de sortir de sa tutelle originale, autrement que par une assistance spirituelle ayant autorité sur la reprogrammation de ces dits éléments de synthèse dans son cerveau. Il nous est donc facile d’envisager de grandes et belles solutions en paroles, liées à nos analyses, mais il nous est impossible de les mettre directement en pratique dans la logique divine. Le dernier élément de notre chaine cérébrale produisant l’influx nerveux nécessaire à générer l’impulsion indispensable à toute forme d’action, est et reste de nature charnelle, rendant toute action impure au regard de Dieu.

C’est pour cette raison que nos analyses humaines de la volonté divine, nous conduisent à de possibles erreurs d’interprétation que nous mentionnions dans le chapitre précédent, jusqu’à pouvoir nous amener à confondre une souris avec un mammouth. Ce garde fou qu’est la tutelle de Satan, était donc nécessaire au développement intellectuel de l’homo sapiens, durant tous les siècles en question, afin de lui éviter tout débordement hors de sa génétique, raison pour laquelle une sécurité était nécessaire pour garantir le droit de regard de cette tutelle. Si cela n’avait pas été le cas et ne le restait pas aujourd’hui, les erreurs d’appréciation de tout contexte, auraient très bien pu amener l’homo sapiens, tout comme l’humain d’aujourd’hui à devenir un élément destructeur incontrôlé. Ce sont donc ces sécurités d’hier, qui nous maintiennent aujourd’hui sous la continuité de cette tutelle et qui nous interdisent l’emploi direct de la logique divine, malgré toutes nos bonnes volontés.

Nous ne possédons pas dans notre cerveau, d’une image suffisamment précise dans ces banques de données à disposition du Saint-Esprit dans nos cœurs, pour produire la volonté divine en Jésus-Christ. Chacun interprète alors la parole de Dieu selon ses affinités, ses peurs ou tout autre critère à partir duquel il analyse ses propres banques de données, comme étant justes ou non. Nous retrouvons alors les valeurs du bien et du mal, situées pour les uns à la taille d’une souris, alors que les autres y voient un mammouth. Ce sont là les sujets de tous nos conflits qui conduisent aux guerres, qu’elles ne soient que verbales ou mondiales.

Sans l’intervention divine de Jésus, à laquelle nous devons aspirer et recourir à Lui dans les moments de notre confrontation à l’emploi de l’un de ces éléments de synthèse imparfaits, il est impossible à quiconque, de les reprogrammer afin d’entrer pleinement dans la logique divine. La programmation initialement réalisée dans la logique spirituelle charnelle, n’a pour vocation que de nous maintenir tant bien que mal sur les valeurs de notre génétique et dans une attirance vers le respect du divin, avec une capacité d’en atténuer ou d’en augmenter l’impact, mais absolument pas pour en assurer une reprogrammation dans une nature différente. Nous n’avons pas autorité sur la réécriture de ces éléments dans une autre logique, faute d’avoir nous-mêmes accompli la loi, comme c’est le cas de Jésus. Si Dieu n’avait pas placé lui-même ces « balises » nous assujettissant à cette tutelle, ce n’est pas un mieux qu’il aurait envisagé au travers du Libérateur en Jésus-Christ, mais un pire, par la mauvaise interprétation de la liberté que nous pouvons faire au travers de notre logique initiale.

Si Dieu avait permis que l’humain puisse reprogrammer lui-même ces éléments clés, Il aurait laissé le droit à cet humain de sortir définitivement de la bonne gestion de sa génétique, en l’abandonnant à son triste sort. Dieu poursuit au contraire l’éducation de l’humain, à prendre conscience qu’il ne peut découvrir la volonté divine, que par la réécriture de sa logique charnelle, sur l’ensemble de son système cérébral, mais il faut pour cela que cet humain sache qu’il ne sait pas.

Ces quelques lignes résument donc la totalité de notre réalité spirituelle, liée à notre logique charnelle. C’est elle qui nous interdit toute mise en pratique équilibrée selon Dieu, raison pour laquelle sa réécriture est indispensable dans notre cerveau, après notre baptême du Saint-Esprit dans notre cœur.

Toute personne avançant dans la sanctification chrétienne et l’Amour de son prochain selon Christ, avance donc sans le savoir dans ce type de réécriture de son cerveau. D’autres ne font qu’utiliser leur logique charnelle, plus ou moins bien éduquée pour tenter d’accomplir la volonté divine, depuis un cœur renouvelé ou non dans la logique divine. Ils oublient le plus souvent l’amour de leur prochain, qui ne figure pas dans l’écriture initiale de leur cerveau et confondent en l’Amour de leur prochain avec la simple perception d’amour égocentrique, plus ou moins bien éduqués vers autrui durant l’enfance. Ils ne reçoivent en fait que l’influence du Saint-Esprit à accentuer ou modérer l’impact déjà programmé, sans que cela ne change pour autant la programmation individuelle de leur logique initiale.

C’est là la source de nos plus grandes confusions, mais aussi bizarre que cela puisse paraître à certains, ceux qui, sous la conduite du Saint-Esprit utilisent la construction initiale de leur cerveau, ou ceux qui avancent dans la réécriture de celui-ci, sont aussi utiles l’un que l’autre dans le cheminement de notre humanité vers la nature divine, comme nous le verrons plus loin.

Dieu aime toute sa création et veut nous utiliser les uns et les autres à rester confiants dans le Saint-Esprit, car c’est Lui qui utilise alors les spécificités de chacun dans une complémentarité indispensable à découvrir sa nature divine. C’est en cela que nous pouvons voir que nous sommes tous enfants de Dieu, si nous le souhaitons.

C’est pourquoi, afin de pouvoir aspirer aux choses les meilleures, nous allons maintenant regarder quels sont ces banques de données programmés, qui produisent ces stéréotypes de réactions en nous. Chacun en connait le nom, car en fonction de la période à laquelle ils s’inscrivent, puis se programment dans notre cerveau, nous les appelons esprit ou sentiments.